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Depuis de nombreuses déjà, je suis représenté sur les circuits internationaux par l'intermédiaire des sportifs de haut niveau que je peux suivre tout au long de l'année selon leur discipline respective. Grâce à eux, ma méthode de travail a pu être mise en avant et à montré ses résultats sur de nombreux podiums internationaux.

A ce jour, ma pratique est à l'origine de:

4 titres de champion de France,

5 titres de champion du monde,

3 titres de vice champion du monde, 

1 médaille de bronze Olympique,

1 médaille d'or Olympique,

3 globes de Cristal.

Mais surtout, tous admettent se sentir mieux sur le plan physique, mental et énergétique, durant leurs phases d'effort et de repos.

Cette méthode de travail s'applique donc aussi à des personnes désirantes de se libérer de vieilles tension ou vieux conflits qui restent jusqu'alors un handicap quotidien, conscient ou inconscient.

 

Soyez donc le champion de votre vie !

 

 

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Published by osteopathe.annecy.veyrierdulac.74.over-blog.com - dans osteopathe olympique france médaille annecy champion sport haut niveau énergie lyon genève monde savoie ostéopathe
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Chaque  séance débute par un bilan bioénergétique dans lequel grâce à une sensibilité exercée au niveau des mains et de mes perceptions extrasensorielles, je vais détecter dans l’aura de la personne toutes les pollutions énergétiques, émotionnelles, mentales qui empêchent une bonne connexion terre-ciel, chaque couche de l’aura peut abriter des fréquences énergétiques basses que l’on retrouve sous différentes formes... et au niveau du corps toutes les autres formes de pollution.

On va s’assurer que rien ne bloque la distribution et la circulation de l’énergie interne grâce à l’ostéopathie qui va réaligner la structure physique et énergétique interne, on va vérifier que rien ne gène à cette réalisation.

De ce fait on n’essaie pas de soigner ce qui ne va pas sur une ligne du temps ou de réalité car on ne peut pas réparer ce qui a été,  on permet à la personne de changer de ligne de réalité ce qui est bien plus rapide et profitable, ainsi on permet au patient de GUERIR

En complément de l'Ostéopathie, je m'appuie sur la médecine traditionnelle chinoise ( les méridiens et les 5 éléments ), la médecine Ayurvédique ( les nadis, le Yin-Yang ) afin de me rapprocher au plus près du probléme.

 

Liste non exhaustive des problèmes sur lesquels on peut agir

Même si la médecine énergétique quantique ne s'intéresse que très peu au symptôme car le but est de restaurer l'intégrité de la personne sur tous les niveaux ( la véritable " approche globale " ): physique, énergétique, émotionnel, mental, spirituel, néanmoins il est intéressant de savoir qu'elle peut traiter avec succès:

SUR LE PLAN PHYSIQUE :

  • fatigue, perte d'énergie
  • douleurs articulaires, musculaires
  • cervicalgies, lombalgies, tendinites
  • fibromyalgie
  • acouphènes
  • migraines
  • baisse libido
  • troubles du sommeil
  • syndrome prémenstruel
  • troubles liés à la ménopause
  • allergies diverses
  • problèmes digestifs
  • problèmes cutanés: eczéma, psoriasis, dermites...

SUR LE PLAN EMOTIONNEL :

  • deuil non fait
  • choc traumatique ou psychologique
  • anxiété
  • dépression
  • manque de motivation
  • problèmes relationnels avec les autres
  • stress et angoisses
  • difficultés de couple

SUR LE PLAN MENTAL :

  • troubles de la personnalité
  • timidité
  • troubles de l'humeur
  • troubles de l'attention
  • peurs
  • phobies
  • addictions (alcool, tabac, sexe...)

SUR LE PLAN SPIRITUEL :

  • manque de sens à la vie
  • problème de place
  • manque de confiance en soi

 

 

 

 

 

 

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C’est très impressionnant : les fibroblastes se regroupent, se séparent et bougent, un peu à la manière d’un banc de poissons. C’est comme un gel aqueux qui transmet l’information à l’ensemble de l’organisme. Tout semble se dérouler… comme dans la nature : jusqu’à six millions de cellules sont impactées. Le travail de l’ostéopathe consiste ainsi à équilibrer les points de tension et de compression dans le tissu conjonctif, pour rétablir un équilibre systémique.

 

COMMENT L’EXPLIQUEZ-VOUS ?

 

Nous pensons que cette organisation correspond au principe de tenségrité. Il suffit de placer des points de tensions et de compression pour que l’ensemble tienne de façon harmonieuse. Notre film le démontre, bien que les milieux médicaux et scientifiques aient beaucoup de difficultés à l’admettre. On nous objecte que cette conclusion n’est pas basée sur des preuves, des statistiques, ou même qu’il est facile de truquer des images ! Je pense qu’il faudrait pourtant prendre en compte le formidable essor de l’ostéopathie dans nos sociétés. Les patients apprécient cette approche positive, sans médicament et, pour ainsi dire, écologique. C’est une démarche durable, qui permettrait d’ailleurs de faire des économies importantes en termes de santé publique.

 

http://www.youtube.com/watch?v=Lee4_wQnQN8

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L’ostéopathie :
Pour fonctionner dans de bonnes conditions toutes les structures qui composent le corps ( os, articulations, tendons, muscles, viscères...) ont besoin d’un minimum de micromouvements. Tous les blocages de ces micromouvements altèrent le fonctionnement du corps.
Les blocages ne sont pas systématiquement douloureux.
L’ostéopathie est un ensemble de techniques manuelles qui s’emploie à conserver et/ou à rétablir le bon fonctionnement de la mécanique humaine en prévenant et/ou traitant les « blocages ».

L’ostéopathe qui n’utilise que ses mains, a une approche globale des patients c'est-à-dire qu’il prend en compte son mode de vie ( exemple : sportif ou non ), ses antécédents (accidents...), sa personnalité, son état de santé... afin de contribuer à une bonne harmonie psycho corporelle, indispensable à la réussite sportive.


Ostéopathie et ski :
C’est la pratique spécifique de l’ostéopathie qui veille à la prévention et au soins des blessures incombant au ski ainsi qu’à l’optimisation du corps, afin de préserver et exploiter au mieux le potentiel physique de l’athlète skieur.

Taïna Barioz

Trois axes de travail;


Prévention/Suivi:

Cette étape est fondamentale: son objectif est de vérifier tous les systèmes mis en jeu par le corps lors d'une épreuve sportive ( biomécanique, respiratoire, cardiaque, Neurologique ).

Le suivi consiste à un Check up des systèmes avant une épreuve, en cours de saison.

 Exemple: prévention des épiphysites de croissance, lombalgies, dorsalgies...toutes les pathologies non traumatiques du ski. Vérification mécanique des genoux, du bassin...


Soins :
 Après une chute ou une blessure, en cas de blocage, de gêne, de douleur, en cas de stress, de
manque de concentration ou même durant une phase post-chirurgicale.
Exemple : Douleurs diffuses après grosse chute, piquet enfourché, entorses du genou, blocage lombaire, torticolis, post chirurgie LCA, trouble du sommeil pré compétition.

le but est de rétrouver l'harmonie des systèmes pour aider l'athlète à retrouver une meilleure gestion du stress, du sommeil et du mental.

Récupération : 
Eliminer les traces laissées par l’effort, purger la machine énergétique ( Permet entre autre de mieux encaisser les entraînements ).
Ex : Favoriser l’élimination le l’acide lactique produite par l’effort des cuisses / limiter les courbatures et le risque de blessures musculaires...


Conclusion :
L’ostéopathie est à intégrer dans la préparation et encadrement du ski d’élite. Il est essentiel d’intervenir dès les petites catégories : ce qui permet de concilier la prévention et la performance, c'est-à-dire limiter les blessures de l’athlète skieur tout en lui permettant d’être performant en compétition. 

Des consultations ostéopathiques régulières tout au long de la carrière sportive sont indispensables à la réussite sportive. Ce qui permet de profiter pleinement du ski de haut niveau sans en payer le prix fort !

 

                  

Photo Agence Zoom, 19/03/2017, Aspen. Tessa Worley remporte le globe de cristal

                         Tessa Worley, Aspen. 19/03/2017. Championne, coupe du monde. Slalom géant

Perrine Laffont, Championne Olympique 2018 et 2 globe de Cristal ( 2018 & 2019 )

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Le diaphragme

 

 

 

 

 

 

 

Le diaphragme se situe dans la cage thoracique et a la forme d’un parachute.

Au dessus: les poumons, le coeur

En dessous: Foie, Estomac, Rate, et le système viscéral

En dehors: les cotes

Les éléments qui le traversent: Oesophage, Trachée, Aorte, Nerf pneumogastrique ( nerf cranien ), Veine cave inférieure, Artères et veines thoraciques internes, Nerfs moyen splanchnique et petit splanchnique, Nerf grand spanchnique, Veines lombales, Chaines orthosympathique

Innervation: Nerf Phrénique, plexus cervical C4

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le diaphragme et le système nerveux:

Pour résumer en quelques mots, notre système nerveux se divise entre le système nerveux central (SNC) et le système nerveux périphérique (SNP).

 

Le SNP se divise lui-même en plusieurs parties, dont le système nerveux autonome, qui se divise lui-même, pour sa partie motrice entre:

-le système nerveux sympathique

-le système nerveux parasympathique

 

Le système nerveux sympathique sert à augmenter le rythme cardiaque et intervient dans les moments où l’on a besoin d’activer l’organisme (ex: il faut fuir un danger).

Le rythme cardiaque et la respiration augmentent..

 

Un diaphragme tendu influera mécaniquement sur ce système nerveux.

 

A l’inverse, le système nerveux parasympathique permettra de diminuer la fréquence cardiaque, le rythme respiratoire..

il permet le retour au calme de l’organisme, il permet de maintenir son homéostasie, de maintenir l’équilibre de l’organisme.

 

On peut agir sur le système nerveux parasympathique via la respiration diaphragmatique.

On diminue la fréquence cardiaque, le rythme respiratoire, on oxygène l’organisme, le corps et les muscles se détendent..

 

 

 

Le diaphragme est le principal muscle inspirateur : lorsqu’il se contracte, celui-ci s’abaisse créant une pression négative dans les poumons. Un appel d’air est crée: ON INSPIRE !

 

 

 

 

Ajoutons à cela qu’une bonne respiration permet de réguler l’équilibre acido-basique du corps, au même titre que l’alimentation.

 

** Les conséquences d’un déséquilibre acido-basique:

« L’accumulation d’acides dans les tissus peut entraîner diverses conséquences : l’accroissement des inflammations, le ralentissement du métabolisme, la déminéralisation, un affaiblissement général de l’organisme, une sensibilité accrue au stress, une diminution du seuil de la douleur ou une accélération du processus de vieillissement.

( Voici quelques pathologies pouvant être liées à une surcharge acide de l’organisme: Les rhumatismes,le diabèteles affections rénales et vésicalesla maladie de Basedow (hyperfonctionnement de la glande thyroïde), les maladies cancéreuses en généralles leucémiesl’ostéoporose. »

** Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quilibre_acido-basique

 

Ainsi, par exemple, certains pratiquants ne réalisant pas la respiration par le diaphragme, s’hydratant peu ou négligeant le fait de manger des légumes, se retrouvent avec des tendinites à répétitions, qui disparaissent dès qu’ils font attention à ces quelques points...

 

Autre point important un diaphragme peut-être tendu à cause du stress ou en raison de tensions au niveau cervical, au niveau des trapèzes.

« - dénouer les tensions des trapèzes, ce qui libérera la cage et donc étirera abdominaux et diaphragme. 

 

Les conséquences se feront ressentir au niveau émotionnel:

«  Il n’est pas bon de générer des tensions dans une zone déjà naturellement sujette aux tensions, zone où se manifestent nos émotions). », et peuvent à terme causer des pathologies au niveau du dos.

En outre, il n’est pas rare que des personnes stressées au travail, faisant de l’apnée de manière inconsciente à cause du stress, générant des tensions au niveau du diaphragme, se retrouvent avec des douleurs au dos, voire avec un dos totalement bloqué par moments.

Et la solution passera notamment par le fait d’exercer son diaphragme régulièrement.

 

 

 

Maintenant, vous avez une idée plus précise de l’intérêt d’exercer son diaphragme et de son importance. 

 

L’article ici se focalise sur le diaphragme mais retenez que l’important est de penser « global » et que le travail du diaphragme s’inscrit en relation le travail du transverse ( abdominal en forme de ceinture, qui permet de rentrer et sortir le ventre ).

 

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L’ostéopathie somato-émotionnelle est un ensemble de techniques manuelles qui a pour but la recherche d’émotions mal vécues dans le passé et parfois oubliées. Elles restent présentes dans le corps et dans la psyché sous forme de symptômes physiques, et de conduites comportementales récurrentes.

Lorsque le corps physique ou psychique reçoit un choc, il s’ensuit une dysfonction. De là, naissent deux schémas de fonctionnement :
Soit cette dysfonction est comprise, assimilée, et acceptée par l’organisme, soit elle ne l’est pas.

  • Dans le premier cas, il y aura réparation et l’ensemble du système vivant va tout mettre en œuvre pour réinclure les tissus lésés dans l’organisme. Cela se fait soit tout seul (l’homéostasie), soit avec l’aide d’un thérapeute.

  • Dans le second cas, des mécanismes plus complexes se produisent. Lorsqu’on n’est pas bien, que l’on n’a pas le moral, on s’enferme et on ne communique plus. Les tissus lésés procèdent de la même manière. Ils s’excluent du champ de la perception corporelle et de la conscience, ils ne communiquent plus. Ils restent dans leur histoire, en figeant le temps. Notre corps et notre conscient, vivant tout deux dans le présent portent une dysfonction qui ne communique plus, et qui est sortie du champs de leur conscience. Nous orientons notre vie pour reproduire cette dysfonction originelle afin qu’elle puisse être réinclue et enfin acceptée.

 

                                          Emotion.jpg


Cette notion de schéma ou de croyance est sans doute à l’origine de nos maladies et accidents qui se répètent, mais aussi à l’origine de nos comportements et de la reproduction de nos échecs qui nous soignent malgré eux.

L’ostéopathe, en percevant les dysfonctions, ressent quel organe ou quel type de fonction est touché par cette énergie émotionnelle. Les données scientifiques actuelles permettent de dire que telle ou telle émotion est gérée par telle ou telle structure cérébrale, gérant à son tour tel ou tel organe. A un organe, correspondrait une sémantique émotionnelle. Notre travail consiste à faire de nouveau communiquer les tissus en dysfonction au travers des émotions lui correspondant. 
Ainsi, petit à petit, le présent de la dysfonction se réactualise et se met au même niveau que le présent du patient. Ce dernier étant adulte et avec une autre conscience que celle qu’il avait au moment de la lésion, peut accepter ce qui s’est passé et réinclure cette énergie lésionnelle, dans son nouveau système conscient.

 

Viola Frymann, grande ostéopathe Américaine, écrit dans ses recueils de pensées et de conférences:

« Certaines choses semblent avoir disparu du champ de la conscience, mais restent cependant bien présentes au fond de nous. Il existe des forces cachées au plus profond de nous même.

Par exemple, lors d’un traumatisme physique, des forces ont été enfermées et il est nécessaire de libérer tout ce qui est enfermé, tout ce qui est prisonnier de notre inconscient. »


Cette forme d’ostéopathie s’adresse à ceux qui veulent faire un travail sur eux-mêmes et comprendre l’origine de leurs dysfonctions et des schémas de vie qu’ils reproduisent sans cesse.
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Les 5 fonctions oro-faciales de base sont : la déglutition, la succion, la respiration, la mastication et le langage. Les quatre premières représentent des fonctions primitives réflexes, alors que le langage est une fonction cognitive plus élaborée. Ce sont les déterminants de la croissance maxillo-faciale. Donc, s'il y a une perturbation d'une de ces quatre fonctions, cela entraîne une perturbation du système neurologique avec une adaptation du développement maxillo- facial pouvant causer une mauvaise occlusion.

 



Le système manducateur représente un élément perturbateur auquel il faut s'attarder. La majorité des gens qui éprouvent des cervicalgies chroniques ont des troubles manducateurs. L'occlusion dentaire représente le contact des dents supérieures et inférieures entre elles. Le contact devrait normalement avoir lieu sur les molaires, c'est-à-dire sur les dents arrière.

On ne devrait pas observer de contact sur les dents avant (incisives). Tel que mentionné auparavant, il existe des fonctions oro-faciales déjà enregistrées à la naissance au niveau du système nerveux central qui déterminent une occlusion normale. Une perturbation de l'alignement des dents n'entraîne pas nécessairement une malocclusion car elle représente souvent une adaptation du massif facial face à une perturbation d'une fonction primitive réflexe. 

80% des traitements d'orthodontie (broches) se font sur une demande esthétique du client, alors que seulement 20% des demandes sont justifiées pour une raison fonctionnelle. Donc, si votre contact dentaire n'est pas adéquat, parlez-en à votre dentiste car si l'occlusion est perturbée, que ce soit par un mauvais contact dentaire ou par un plombage mal-ajusté, il se produira un déséquilibre neurologique avec une compensation neuromusculaire.

Le système nerveux central cherchera à compenser ce mauvais contact en ajustant les mouvements fins de l'ATM (articulation temporo- mandibulaire), ce qui engendrera un état de stress musculaire plus important au niveau des muscles de la mâchoire et du cou. À long terme, une douleur apparaîtra.

Une récente étude a démontré que la majorité des gens qui n'ont pas de molaires, éprouvent des douleurs cervicales et même lombaires. Pour que la fonction s'exprime, il faut une configuration mécanique minimale. Les dents n'ont pas seulement comme fonction le sourire et la mastication. Elles ont un rôle dans le schéma corporel. Le fait de ne pas avoir de dents en arrière

amène une adaptation du corps, de la tête et de l'ATM et peut engendrer des problèmes d'oreilles tels que l'acouphène, la sensation d'avoir une oreille bouchée, des problèmes d'ATM avec une mâchoire qui craque ou qui est douloureuse. De plus, cela modifie la posture, car le système manducateur à un rôle érecteur du rachis. La personne se retrouvera avec une courbure dorsale prononcée, une protraction de la tête (tête avancée), une bosse de bison et toutes les répercussions néfastes que cela engendre. D'un point de vue mécanique, la mastication devrait être symétrique et avoir lieu bilatéralement en alternance d'un côté à l'autre. Le fait d'avoir des molaires d'un seul côté entraîne une mastication asymétrique; c'est-à-dire une mastication toujours du côté opposé pour pouvoir réussir à broyer les aliments. Or, cette sur-sollicitation du même côté entraîne deux choses.

D'abord, elle augmente considérablement le tonus musculaire des muscles masticateurs de ce côté (masséter, temporal, ptérygoidiens) pouvant être source de douleurs et même conduire à des problèmes crâniens. Ensuite, elle crée une augmentation du mouvement accessoire de l'ATM du côté opposé pouvant engendrer des phénomènes d'hypermobilité ou d'instabilité de l'ATM opposée.



Donc, si vous souffrez de douleurs chroniques et que vous n'avez pas de molaires d'un côté ou de l'autre, ou des deux côtés, sachant maintenant les répercussions que cela peut causer, évitez de mâcher de la gomme pour diminuer la sur- sollicitation des muscles masticateurs et faites- vous faire une prothèse dentaire par votre dentiste ou par votre denturologiste. 
Arrêtez de vous faire traiter à répétition pour des douleurs cervicales qui ne disparaissent jamais si vous avez un problème du système manducateur. Si vous avez déjà une prothèse dentaire, assurez-vous qu'elle est stable et que vous êtes confortable avec. Sinon, faites la vérifier.

Si depuis quelques temps vous serrez des dents ou grincez des dents, que ce soit le jour ou la nuit, vous devez prendre conscience que cela augmente de façon considérable le tonus musculaire des muscles de la mastication, du cou et de la tête. Cela peut facilement être la cause de vos douleurs. Pour ceux qui serrent les dents le jour, diminuez votre stress, faites les efforts nécessaires pour éviter de serrer les dents et évitez de mâcher de la gomme.

Pour ceux qui serrent les dents la nuit, c'est un peu plus compliqué car c'est un problème inconscient. Le fait de serrer les dents ou de grincer des dents est sans contredit lié à unproblème émotionnel, qu'il soit psychologique ou physique. C'est une façon d'évacuer le stress ou les tensions à l'intérieur de nous. Vous ne pouvez pas imaginer le nombre de personnes qui consultent régulièrement pour des maux de tête ou des douleurs cervicales dont le problème est simplement dû au fait que la personne serre des dents. Vous devez en parler à votre dentiste pour que celui-ci vous procure une plaque occlusale. L'idéal serait de régler ce problème émotionnel mais comme ce n'est pas toujours évident, la plaque occlusale aidera en provoquant un réflexe d'inhibition par l'application d'une surface étrangère entre les dents. Ce faisant, elle apportera une détente du système neurologique qui se traduira par une diminution de l'état de stress musculaire et une diminution de vos douleurs.

Une consultation en ostéopathie est également fortement suggérée pour éliminer les tensions faciales à l'intérieur. Tous les éléments perturbateurs, leur influence ainsi que la façon de les traiter sont détaillés dans le livre best- seller « Vaincre la douleur et la maladie ». 

Ces informations sont essentielles et devraient faire parties de notre éducation.

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Névralgies, sciatiques, lombalgies, maux de tête, insomnies… sont peut être les séquelles tardives d’un ancien traumatisme ou même d’un accident de voiture. Même si aucune lésion n’est apparente aux examens radiologiques, même si le traumatisme qualifié de “coup du lapin” a été modéré, l’onde de choc reste "inscrite" dans le corps de l’accidenté et occasionne troubles et douleurs.

Que se passe-t-il lors d’un accident ? Le conducteur et les passagers sont maintenus par leur ceinture de sécurité qui croise le thorax au niveau du sternum et fixe les deux os latéraux du bassin sur le siège. Lors du choc, des pressions vont s’exercer sur ces zones. La tête part violemment en avant, entraînant dans son mouvement toute la colonne vertébrale et le sacrum (os du milieu du bassin). Le corps est ainsi soumis à une importante force d’inertie qui dépasse ses capacités d’absorption. Certaines structures se trouvent alors en conflit les unes avec les autres, provoquant symptômes et douleurs (parfois à retardement).

Crâne et bassin sont liés anatomiquement: La dure-mère, membrane méningée qui tapisse la boîte crânienne, se prolonge comme un tube dans la colonne vertébrale et s’attache solidement sur le sacrum tout en bas. C’est à cause de ce rapport anatomique particulier qu’un choc sur le sacrum peut entraîner des problèmes crâniens à distance. De même un choc sur la tête peut provoquer des douleurs lombaires. Ce lien dure-mérien est spécifiquement travaillé par l’ostéopathe.

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Quand consulter ? 
Après tout type d’accident. 
Même en l’absence de signes radiologiques “objectifs”, la peur, l’émotion ont pu suffire à bloquer la respiration, gêner le fonctionnement du diaphragme thoracique et entraîner des compensations douloureuses. L’ostéopathe, par la palpation fine, retrouve “la cause de la cause”. 
Dans tous les cas où il y a eu traumatisme crânien avec ou sans perte de connaissance (après consultation en service spécialisé). 
Dans les cas de douleurs vertébrales, cervicales, dorsales ou lombaires. 
En cas de perte de mémoire, troubles de la vue, de l’audition, de l’olfaction, insomnies, vertiges. 
En cas de contusions ou de séquelles de fractures.

Et dans tous les cas où la pression de la ceinture ou du volant a pu provoquer : 
des gênes et des douleurs respiratoires (la personne ne peut plus respirer " à fond "
des sensations d’angoisse, d’oppression. 
des douleurs au niveau du sternum. 
une fatigabilité, une baisse de « tonus » ou un état dépressif...

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Rappel anatomique et biomécanique

Le muscle tenseur du fascia lata est un muscle de la ceinture pelvienne qui unit le membre inférieur au tronc. Il s’agit d’un petit muscle, il se rapproche des muscles fessiers d’autant que la fonction est commune. Cette action est principalement l’abduction de la cuisse (entrainer le membre inférieur en dehors) et accessoirement la flexion de la  hanche (entrainer la cuisse sur le tronc).

Les muscles grand fessier et tenseur du fascia lata forment un ensemble qui se nomme le deltoïde fessier. Le grand fessier et le tenseur du fascia lata s’unissent tous les deux sur la bandelette de Maissiat, appelée tractus ilio- tibial. Cette bandelette ou tractus descend tout le long de la cuisse, sur sa face latérale (telle la couture du pantalon) et se termine sur la partie toute supérieure de la jambe, sur le tibia (tubercule de Gerdy).

De ce fait, cet ensemble joue également un rôle dans la stabilisation du genou notamment quand il est fléchi. C’est un élément qui est capital.

 

 

La pathologie

Le syndrome du fascia lata ou syndrome de la bandelette ilio tibiale ou syndrome de l’essuie-glace est du à une friction du tractus ilio tibial (tendon du fascia lata) sur l’os (la tubérosité du condyle latéral du fémur / ou CFE = condyle fémoral externe ), par flexions et extensions répétées du genou. C’est la répétition des mouvements qui est la cause de la douleur.
schema cuisseIl s’agit d’une douleur sur la face latérale (externe) du genou. Bien évidemment, beaucoup d’autres diagnostics doivent être éliminés face avec une douleur externe du genou, chez le sportif. Mais la particularité du syndrome du fascia lata est l’apparition de la douleur spécifiquement dans la course à pied. C’est essentiellement la course à pied qui est la cause de ce syndrome (le cyclisme, régulièrement cité, n’entraîne que très rarement cette pathologie).

Les douleurs sont généralement très reproductibles c’est-à-dire qu’il s’agit de la même sensation douloureuse, pour le même temps de course à pied. Après l’arrêt de la course à pied, la douleur cesse ou peut persister quelques heures, dans la vie quotidienne, notamment dans les escaliers.

Le syndrome peut parfois être bilatéral

Il s’agit d’une douleur au niveau de la portion terminale du tendon  du fascia lata mais il ne s’agit pas d’une réelle tendinopathie. En fait, le tendon est totalement sain. Il s’agit uniquement d’une irritation du tendon, sur le condyle externe du genou, par mouvements répétés. Il s’agit donc d’un conflit tendon – os. 

 

L’examen clinique s’attache surtout à éliminer toutes les autres causes de douleur externe  (latérale) du genou. Malgré tout, l’histoire de la douleur (uniquement à la course et pas au football, par exemple ) et surtout sa reproduction lors de la flexion-extension, en charge, du genou entre 20 et 30°,  suffisent souvent à confirmer le diagnostic. Bien évidemment, la liberté de la hanche et du genou est recherchée, l’axe des membres inférieurs (recherche genu varum) n’est pas oublié.

 

Pourquoi ?

Certes,  la course à pied est quasiment l’unique responsable de ce syndrome mais son apparition est souvent très fantasque.

La morphologie d’un sportif change-t-elle du jour au lendemain ?

Sa technique de course change-t-elle brutalement ? …

Comme toujours, il faut rester humble  car aucune étude scientifique ne donne les réponses. 

Il existe, certes, des facteurs de risque qui sont bien repérés, citons :

Les facteurs intrinsèques:

le genu varum, le relief osseux, les axes de l'unité fonctionelle inférieure etc..

Les facteurs extrinsèques :

la raideur du fascia lata, dysharmonie, le sol de l'activité etc..

 

On constate que l’ensemble de ces facteurs de risque (intrinsèques + extrinsèques) ne peut expliquer le début de la maladie. D’ailleurs, il ne s’agit que de facteurs de risque (donc d’hypothèses) et non de causes scientifiquement prouvées.

 

Bien évidemment, l’apparition des douleurs impose de reconsidérer certains éléments techniques comme les chaussures, l'inflamation locale etc..

 

Quand on a tout essayé, que faut il faut il faire ?

Il faut alors revenir aux fondamentaux de la biomécanique.  La douleur est due à un conflit entre un tendon et un os. Mais il ne s’agit pas  vraiment d’un problème de statique ; il s’agit d’un problème dynamique. Il faut donc toujours raisonner en dynamique et pas en statique. 

 

N.B:

 

Il existe plusieurs autres pathologies à l'origine des douleurs aux genoux.

  • Le syndrome fémoro rotulien : Ce syndrôme apparait chez les coureurs de fond ou les personnes pratiquant régulièrement des flexions du genou. Il est caractérisé par une douleur autour de la rotule à l'avant du genou.
  • La bursite du genou : Une inflammation d'une bourse séreuse, qui sert normalement à réduire les frottements entre les os et les tendons. Elle se traduit par un gonflement à l'avant du genou entre la peau et la rotule. La bursite n'est en général pas douloureuse. Elle est liée à un travail trop appuyé sur les appuis des genoux. La douleur peut devenir chronique si elle n'est pas traitée
  • L'entorse du genoux : un étirement du ligament généralement causé par un geste brusque. L'entorse est douloureuse et s'accompagne généralement d'un gonflement ou d'un odème. Un ostéopathe intervient une fois que l'oedème a disparu et peut vous aider à limiter les chances de récidives.
  • Les tendinites du genoux. Un étirement du tendon qui relie les muscles aux os. L'ostéopathe peut intervenir dans le cas des tendinites. 
  • L'arthrose : usure des articulations. Les cartilages du genou sont abîmés et provoquent des douleurs. L'athrose est généralement liée au vieillissement. Il y a ainsi peut de chances que vous souffriez d'arthrose si vous avez moins de 30 ans. Même si l'ostéoapthe ne peut resorber l'arthrose, il peut vous aider à soulager la douleur. 

 

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